Malgré l’ouverture d’une information judiciaire, les éléments essentiels — images de vidéosurveillance, rapport d’autopsie, données d’intervention — restent à ce jour inaccessibles.
Pire encore, nous avons dû faire face à des silences institutionnels, des regards dissuasifs, des remarques insidieuses, et des tentatives pour nous faire taire ou nous user.
Comme si demander la vérité dérangeait.

Ce que nous demandons, ce n’est ni un traitement de faveur, ni un règlement
politique : c’est la vérité.
C’est la justice, inscrite dans les principes les plus élémentaires de toute société démocratique.